Nul ne peut nier que le numéro deux du gouvernement est un bien beau parleur, avec une pincée de pédanterie qui n’a rien de ridicule. On peut aimer ou pas le timbre de sa voix, que d’aucuns auraient souhaité un tantinet plus grave, mais personne ne peut contester le fait qu’il maîtrise la langue de Shakespeare (et celle de Molière du reste) de manière… théâtrale, un peu comme un Lord britannique, certainement mieux que le vieillissant Lord Meghnad Desai.
Sur la forme, il n’y a rien à dire ; à lui seul, le ministre du Tourisme a frappé bien plus fort que toutes les campagnes, trop souvent ratées, de la MTPA (dont celle inexcusable et risible de quelque Rs 400 millions signée avec Liverpool à cause des nominés politiques sans colonne vertébrale).
Nul ne peut nier que le numéro deux du gouvernement est un bien beau parleur, avec une pincée de pédanterie qui n’a rien de ridicule. On peut aimer ou pas le timbre de sa voix, que d’aucuns auraient souhaité un tantinet plus grave, mais personne ne peut contester le fait qu’il maîtrise la langue de Shakespeare (et celle de Molière du reste) de manière… théâtrale, un peu comme un Lord britannique, certainement mieux que le vieillissant Lord Meghnad Desai.
Sur la forme, il n’y a rien à dire ; à lui seul, le ministre du Tourisme a frappé bien plus fort que toutes les campagnes, trop souvent ratées, de la MTPA (dont celle inexcusable et risible de quelque Rs 400 millions signée avec Liverpool à cause des nominés politiques sans colonne vertébrale).
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There used to be a time when politicians and their nominees would selectively quote from IMF staff statements and reports in order to convince the population that all was well in paradise, that they could go back to watching the Premier League games or Hindi soaps and that we were an example for Africa but long gone are those days. In a recent interview on the Mauritius Times newspaper, the Lord Meghnad Desai, the outgoing chairman of the MIC unknowingly perhaps jumped on the new message that has been cooking from the “so what!” school of thought over the past month, that is, “let the IMF say what it says. Who cares?”. The interview in itself is puzzling and concerning at the same time. Firstly, there seems to be a bit of a confusion when it comes to why central banks across the globe hold international reserves in the first place.
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Outre les rumeurs d’un énième rapprochement politique entre une section de l’opposition et le gouvernement (sur lesquelles nous reviendrons en temps et lieu), et la démission, lourde de sens, même si inexpliquée, de l’économiste Gilbert Gnany du
board de
Statistics Mauritius (apparemment sur fond de différends relatifs aux chiffres de la croissance économique), il y a, au moins, deux autres
happenings qui méritent d’être soulignés, ici, cette semaine.
D’abord, avec Capital Horizons, dirigée par le Mauricien Shaan Kundomal, il y a le retour imprévu de la juridiction mauricienne au-devant des actualités liées au secteur offshore. C’est, en fait, une bien mauvaise actualité, voire une vilaine publicité. Qui vient, comme un rabat-joie, teinter l’optimisme entourant la venue imminente d’une délégation de la FATF (GAFI) à Maurice.
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