Publié le 2 juil. 2021 à 9:15
« Sans le CNC, je n aurais jamais fait de films. Pour mon premier long métrage il y a plus de vingt ans, j ai rencontré un tas de producteurs mais personne ne me rappelait. Grâce au CNC, j ai pu bénéficier d une aide à la réécriture et rencontré deux producteurs qui m ont permis de faire mon premier film », se souvient Nadir Moknèche, le réalisateur franco-algérien du
Harem de Madame Osmane et plus tard de
Viva Laldjérie et
Lola Pater.
« Je suis un producteur qui a démarré avec zéro capital. J ai passé mes deux premières années dans le métier en faisant le bagagiste d hôtel pour pouvoir monter mes premiers courts, grâce entre autres aux aides du CNC », relate de son côté Marc-Benoît Créancier.
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