Deux cafés. Plus d’une heure trente de discussion. De passion du sport. À peine entré dans « sa » Taverne Kleyer, il salue ses amis en toute simplicité. Il ne peut pas rester avec eux parce qu’il a un journaliste avec lui, mais il les rejoindra sans doute après. Au cours de l’interview, parfois, une personne s’arrête : « Félicitations Roger. » « Merci » répond-il tout calmement.