Perchés prudemment sur les flancs des remparts de l’enclos Fouqué, les militaires tentent d’esquisser les pentes abruptes qui dévalent sous leur regard surplombant le précipice. Séparés en trois groupes de deux, chacun prend "sa ligne" avec comme objectif d’inspecter les moindres anfractuosités de la roche une centaine de mètres plus bas, à la recherche de ce qui relève désormais d’une sordide évidence : le corps inanimé de Brigitte Ligney.