Publicité J’avais d’abord remarqué, ici ou là, des remarques que j’avais trouvé désobligeantes pour le président et un de ses assesseurs (distributeur de gato piment ou de pistaches, nominé de sales besognes, honoraires exorbitants, etc.). J’ai donc voulu en avoir le coeur net en entrant dans le détail du rapport lui-même (352p, 1 550 articles). Séduit jusqu’au chapitre 4 (disons la phase préliminaire du rapport où le juge fait son baron de la Brede «en posant ses premiers principes et voir tout ce qu’il cherchait venir à lui»), j’avais déjà reproché à quelques journalistes leur excès et leur manque de retenue. Mais comme je n’étais pas encore au vif du sujet, j’ai continué.