Publié le 6 juil. 2021 à 7:00Mis à jour le 6 juil. 2021 à 7:38 L'afflux massif de capitaux a rendu le choix encore plus compliqué. Lorsqu'une entreprise de la French Tech est en capacité de lever des fonds sur une valorisation supérieure au milliard d'euros, l'option d'une introduction en Bourse (IPO) reste secondaire. Pourtant, depuis quelques semaines, les cotations de Believe et d'Aramis Auto tendent à montrer que la Bourse commence à s'imposer dans le paysage des financements potentiels. En France, peu l'ont fait, et seules deux pépites (Criteo puis Talend) ont franchi le pas côté Nasdaq (hors biotech) en dix ans. L'écosystème tech ne cesse pourtant d'expliquer la nécessité de créer des moments de liquidité dans la vie de ces entreprises et désire ardemment que la Bourse fasse partie de leurs possibilités.