Un juge américain a infligé un revers aux autorités du pays qui accusaient Facebook de pratiques anti-concurrentielles en rejetant lundi leurs plaintes déposées fin 2020, faisant grimper le réseau social au-dessus des 1.000 milliards de dollars de capitalisation boursière pour la première fois.
L autorité américaine de la concurrence (FTC) et les procureurs représentant 48 Etats et territoires estimaient que Facebook abusait de sa position dominante et de ses coffres bien remplis pour évincer la concurrence et demandaient notamment à la justice de forcer l entreprise à se séparer d Instagram et WhatsApp.
Mais selon le juge James Boasberg, la FTC n est pas parvenue à présenter suffisamment de faits pour établir de manière plausible que le groupe disposait vraiment d un pouvoir monopolistique sur les réseaux sociaux.
Actualisé il y a 1 heures
Un juge américain a infligé un revers aux autorités du pays qui accusaient Facebook de pratiques anti-concurrentielles en rejetant lundi leurs plaintes déposées fin 2020, faisant grimper le réseau social au-dessus des 1.000 milliards de dollars de capitalisation boursière pour la première fois.
Un juge américain a infligé un revers aux autorités du pays qui accusaient Facebook de pratiques anti-concurrentielles en rejetant lundi leurs plaintes déposées fin 2020, faisant grimper le réseau social au-dessus des 1.000 milliards de dollars de capitalisation boursière pour la première fois.
Mardi 29 juin 2021 Logos de Facebook, Instagram et WhatsApp sur les écrans d un smartphone et d une tablette à Toulouse (France), le 5 octobre 2020 - Lionel BONAVENTURE (AFP/Archives)
Un juge américain a infligé un revers aux autorités du pays qui accusaient Facebook de pratiques anti-concurrentielles en rejetant lundi des plaintes déposées fin 2020, faisant grimper le réseau social au-dessus des 1.000 milliards de dollars de capitalisation boursière pour la première fois.
L autorité américaine de la concurrence (FTC) et les procureurs représentant 48 Etats et territoires estimaient que Facebook abusait de sa position dominante et de ses coffres bien remplis pour évincer la concurrence, et demandaient notamment à la justice de forcer l entreprise à se séparer d Instagram et WhatsApp.
Concernant les allégations formulées par les procureurs généraux à l encontre des rachats par Facebook d Instagram en 2012 et de WhatsApp en 2014, le juge a estimé que, déposées en 2020, elles étaient bien trop tardives.
Il a par ailleurs affirmé que la politique selon laquelle Facebook empêchait le transfert des données vers des applications concurrentes comme Twitter, TikTok ou Snapchat n était pas contraire aux lois sur la concurrence.
Le réseau social s est félicité de ces décisions, qui
reconnaissent les défauts des plaintes gouvernementales déposées contre Facebook .
Nous rivalisons tous les jours équitablement avec d autres entreprises pour gagner le temps et l attention des gens , a affirmé un porte-parole.