France Inter s'est entretenu avec un habitant de Kaboul, terré dans la maison de l'un de ses proches. Il raconte le sentiment d'abandon, l'effroi qui paralyse jusqu'à son phrasé, l'angoisse quand il entend sonner à la porte. Et la peur d'une fouille des talibans: "J'ai détruit ma guitare, mon clavier".