Quelles ont été vos impressions en arrivant?
Q.M. - Éric en est témoin, je suis malade en mer. Avant d’arriver au fort, il y a la traversée en bateau où ça bougeait beaucoup car le jour d’avant, il y avait eu une tempête donc je n’étais pas forcément dans les meilleures conditions. Par contre, en découvrant le fort au loin, c’était incroyable. Et en arrivant, on a découvert cet endroit dingue, quasi médiéval, c’était impressionnant.
É.M. - J’avais d’un côté Quentin qui devenait très très pâle et de l’autre, le fort. C’était génial, il n’y a pas d’autre mot. En le voyant, j’ai tout de suite pensé à la musique du générique et au père Fouras.
Pour cette nouvelle saison, êtes-vous allé plus loin avec votre personnage?L’année dernière, j’avais beaucoup travaillé ma façon de parler, de vanner les candidats. Cette année, on est allé un peu plus loin. Parfois il y a eu des petites chorégraphies. La veille des tournages, j’ai aussi fouillé les réseaux sociaux des candidats pour essayer de trouver des photos un peu dossier pour m’en servir à les taquiner. Ce qui était chouette cette année c’est que j’ai eu face à moi des situations pas communes. Par exemple, Paul El Kharrat, le grand champion des «12 Coups de midi!» sur TF1, a affronté Cyril Gossbo dans «Slaïme». Que le plus grand champion des champions réponde à mes questions, c’était assez rigolo.