Deux cas d’école : l’Algérie et l’Irak, à propos d’un phénomène qui concerne tout le monde arabe, et bien au-delà. La dénonciation rituelle de la corruption des régimes en place est le pont-aux-ânes des opposants en mal de projet politique alternatif ou de programme de rechange. De Moscou à Bagdad, l’anti-corruption remplace les idées politiques et sème souvent l’illusion, sinon la manipulation. Rien de tel avec Corruption et prédation dans l’exercice du pouvoir qui traite de deux cas fort dissemblables, (.)