Christina Popescu :
Se concentrer sur la résolution de problèmes apporte beaucoup de positif, notamment s’investir dans des actions collectives. Faire son compost en solitaire dans son coin, c’est bien, mais ça peut mener au découragement, comme si on était seul à devoir faire face à la crise. Il est plus apaisant d’aller à la rencontre de gens qui partagent nos valeurs environnementales et qui veulent faire des changements, même à petite échelle. Une autre stratégie qui fonctionne pour certains est la quête de sens, telle que définie par Maria Ojala et Panu Pihkala, deux chercheurs scandinaves en écoanxiété. L’objectif est de réfléchir aux origines du réchauffement, à la façon dont on y contribue, et à ce qu’on peut faire pour se sentir davantage en harmonie avec sa propre vision du monde.
Plant a Love of Nature in Your Kids
This Earth Day, show kids they can find refuge in the outdoors.
Credit.Enzo Pérès-Labourdette
April 16, 2021Updated 1:32 p.m. ET
Around 1954, when 8-year-old Stanley Temple began tagging along on Audubon Society field trips near Washington, D.C., he befriended a quiet, dark-haired woman who introduced herself as “Miss Carson.” To his delight, she treated him seriously as a fellow bird lover. “Most of the adult naturalists I knew wanted to teach me to identify things,” he said. “She taught me to stop and look.”
“Miss Carson” was Rachel Carson, who would later make history with her book “Silent Spring,” about the dangers of the pesticide DDT. Stanley Temple would become Dr. Temple, a well-known bird conservationist and a professor of wildlife ecology at the University of Wisconsin-Madison.