La Superligue respire encore. En avril dernier, lorsque le projet avait été officiellement lancé, on avait vu, en moins de 48 heures, les fans de football se lever contre la Superligue, crier leur rage et leur haine contre une compétition fermée, basée uniquement sur le business et la lucrativité, remettant en cause 60 ans d’histoire européenne du football.
Des politiques aux clubs de supporters, jusqu’au pouvoir économique, tout le monde, ou presque, s’était opposé à la Superligue et avait demandé qu’elle soit abandonnée sur le champ. La majorité des clubs participants, les Anglais, les Italiens et l’Atlético de Madrid, en Espagne, avaient alors jeté l’éponge et négocié une sortie de crise avec l’UEFA. Ils acceptèrent tous une ponction de leur rémunération en Coupe d Europe, à hauteur de 5%, et une promesse de ne pas repartir pour un tel projet, au risque de se voir sanctionnés d’une amende de 100 millions d’euros et d’une excl
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