Publié le 16 juil. 2021 à 6:02Mis à jour le 16 juil. 2021 à 8:51
Il est 7 h 00 du matin, un jeudi de juin. La houle, persistante, rythme d une manière quasi-horlogère le paysage qui s étire en contrebas de la côte des Basques. Descendre la centaine de marches qui sépare Biarritz de l océan est un plaisir qui ne se boude pas. À contre-courant, une poignée de silhouettes, planche à la main, remonte sans un bruit, la tête encore anesthésiée par l endorphine créée durant les 90 minutes de glisse qui viennent de s achever. Leur journée peut désormais démarrer sereinement. Parmi ces surfeurs, des natifs, mais aussi des