Pour Keven Lavoie-Deschênes, un homme de 35 ans sans domicile fixe, aspirer régulièrement de la
wax lui permet de se détendre.
«La détresse a beaucoup augmenté dans la dernière année et [cela engendre] donc une augmentation de la consommation», a raconté l’infirmière clinicienne Marie-Laure Paradis, qui va intervenir auprès de cette clientèle selon les souhaits de tout un chacun.
Et le travail des infirmières consiste parfois à diminuer les risques lors de la prise d’une drogue.
«Ce n’est pas de dire aux gens d’arrêter de consommer. C’est vraiment d’accompagner les gens dans leur choix à eux», a précisé la coordonnatrice générale, Nathalie Bouchard.