La sonnerie retentit. La vidéo mouline. Encore et encore. Mais le visage d’Abigail Concas apparaît enfin sur l’écran! Son sourire charmant, mais aussi son regard inquiet.
Derrière la Dracénoise, un aperçu de son petit appartement londonien typique. "Ce qu’on appelle un basement flat", précise-t-el