Des centaines d’élèves de la province vont en classe dans des bâtiments dont le taux de vétusté atteint 100 %. Le ministre de l’Éducation Jean-François Roberge l’a admis il y a quelques semaines : l’état des bâtiments scolaires de la province est « un peu gênant ». Pour certains élèves, parents et membres du personnel, les inconvénients sont bien concrets.