Photo courtoisie François Vincent après avoir monté à genoux les marches de l’oratoire Saint-Joseph dans l’espoir de stimuler une victoire.
« Ce n’est pas fini tant que ce n’est pas fini. Le Canadien a toujours sorti son meilleur hockey lorsqu’il était adossé au pied du mur », lance François Vincent, âgé de 40 ans.
Avec l’espoir qu’un miracle se produise, il a enfilé son chandail du Tricolore et des protège-genoux vendredi avant de gravir une à une les marches de l’oratoire Saint-Joseph.
« S’ils peuvent gagner encore un ou deux matchs afin de remplir et d’aider les bars et restaurants qui ont traversé une période difficile, ajoute-t-il. Je suis déjà content qu’ils soient rendus en finale. Qu’ils gagnent ou perdent, ils nous ont donné de beaux moments dont on avait grandement besoin. »