Avant-hier une bombe explosait à Bagdad, hier des tueurs sévissaient à Londres, aujourd’hui une voiture s’attaque à la police à Paris, et demain ? Quinze ans après le déclenchement de la « guerre contre le terrorisme » menée par les États-Unis et relayée par la plupart des pays occidentaux dont la France, on compte de plus en plus d’attaques qualifiées de « terroristes ». N’est-il pas temps pour l’Occident de s’interroger sur ses responsabilités, sur l’inefficacité avérée des « solutions » policières et (.)