Personne ne dira le
contraire : la route de la corniche oranaise est saturée de part en part,
depuis bien des années. Le trafic qui transite dépasse de loin les capacités de
ce réseau routier binaire, composé de la route principale des tunnels et la
corniche supérieure, toutes deux héritées de l'époque coloniale.
On se targue du record
national en termes d'estivants mettant le cap sur la destination Oran,
principalement sa côte ouest, mais on oublie, dans la foulée des chiffres, dans
quelles conditions est assurée la mobilité de ce grand rush entre le pôle