L'entente entre grandes puissances lors de leur sommet en Angleterre a été plombée par les divergences entre Londres et les Européens sur les nouveaux contrôles imposés à certains échanges entre la Grande-Bretagne et la province britannique, de l'autre côté de la mer d'Irlande, perturbant les échanges et provoquant la colère des unionistes, qui défendent le maintien de la province au sein du Royaume-Uni.
Après une série d'entretiens samedi avec le président français Emmanuel Macron, la chancelière allemande Angela Merkel, et les chefs de l'UE Ursula von der Leyen et Charles Michel, Boris Johnson a averti que son gouvernement n'hésiterait pas à passer outre l'accord de Brexit faute de flexibilité de l'UE, qui appelle Londres à respecter ses engagements.