Vingt ans après les attentats du 11-Septembre, les États-Unis doivent se rendre à l’évidence : le danger majeur qui les guette ne provient pas d’extrémistes affiliés à un soi-disant « Axe du Mal », mais de terroristes nés et éduqués en leur sein, et parfois enrôlés dans cette armée envoyée aux quatre coins du monde pour tenter de construire des États conformes à son image mythifiée. Dans son édition du 1er novembre 2020, The Conversation signale qu’ « environ un cinquième des militaires disent avoir perçu des (...)