Dans un communiqué rendu public hier mercredi, 14 juillet, Amnesty International s’indigne de l’obstruction de liberté dont sont victimes l’ancien Président de la transition et son Premier ministre Moctar Ouane.
En effet depuis leur renversement, suite au remaniement ministériel le 24 mai dernier, Bah N’daw, Moctar Ouane et d’autres officiers supérieurs ont été arrêtés puis détenus à Kati.
C’est le 28 mai qu’ils ont quitté le camp de Kati où ils étaient en détention, suite à la médiation de la CEDEAO et autres personnes de ressources. Mais ils sont toujours en résidence surveillée. Bah N’daw est à la base A et Ouane dans sa résidence privée.