On n’aurait pas pu envoyer la police chez les gens, ni les empêcher d’acheter des produits de première nécessité, donc le seul moyen, aurait été des sas de contrôle dans différents lieux. Mais c’est exactement ce qui existe déjà et ce qui est prévu à l’avenir, constate-t-il.
Cette solution, à mi-chemin entre l’obligation et la forte incitation, réduit aussi l’écho des antivaccins.
Si l’obligation avait été prononcée, ils auraient mis en scène leur opposition en criant aux mesures liberticides. Sans obligation vaccinale, Macron les rend un peu moins audibles.