M. Fortin conteste la décision d’abord parce qu’elle est «déraisonnable puisqu’elle n’était pas justifiée, transparente ou intelligible». En deuxième temps, «les décideurs n’ont pas accordé au major-général Fortin le niveau requis d’équité procédurale», affirme son avocat, Mark Lamoureux.
Finalement, celui-ci avance qu’il y a eu «une ingérence indue dans la chaîne de commandement militaire de la part du ministre de la Défense nationale, la ministre de la Santé, le greffier du Conseil privé et le Premier ministre du Canada».
La nouvelle est tirée du site web du cabinet d’avocat avec lequel le militaire fait affaire, Conway Baxter Wilson, où la requête judiciaire est rendue publique.