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Review Jean Espilondo In pyrenees-atlantiques, nouvelle-aquitaine, france | Public Figure In Pyrenees Atlantiques

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Jean Espilondo



Pyrenees-atlantiques,


Nouvelle-aquitaine,France - 64600

Detailed description is .
Twitter : http://twitter.com/JeanEspilondo .
Tumblr : http://jeanespilondo.tumblr.com/.Jean Espilondo.
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Jean Espilondo, né le 11 janvier 1948 à Mauléon (Pyrénées Atlantiques), est un homme politique français.
Il fut maire d'Anglet de 2008 à 2014..
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Elu conseiller général d'Anglet-Nord en 1998, réélu en 2004, il cède sa place en 2011 en vertu du non-cumul des mandats qu’il choisit de s’appliquer.
Il est député à l'Assemblée Nationale de 1998 à 2002..
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Il fut vice-président de l'Agglomération Côte Basque Adour et vice-président de la Fédération des villes moyennes, en charge de l'urbanisme..
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Une enfance à Mauléon.
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Son engagement démarre dans son enfance, à Mauléon, ville industrielle de l'espadrille et du caoutchouc.
Des centaines d'ouvriers y travaillent dans les entreprises locales.
Souletins, mais aussi espagnols et portugais..
Son père est employé de bureau dans une usine de sandales, puis au groupe Hutchinson où il finira cadre.
Sa mère tient un tabac.
Là, on y parle, en basque, en français, en espagnol, de politique de chasse et de pêche.
« Là, dans la petite salle bleue de fumée du bar-tabac j'ai fait mes premières « universités », celles du Chasseur français, raconte Jean Espilondo.
La chasse en Soule, à Mauléon et la pêche aussi d’ailleurs cela relève de l’hérédité».
Et le rugby aussi : « Pendant cette jeunesse mauléonnaise je me suis investi passionnément dans le rugby.
Mon père avait été un joueur reconnu à son époque ; mon frère international junior jouait en première division.
Moi, sous le maillot du SAM, le Sport Athlétique mauléonnais, j’ai vécu des moments très forts.
D’autres sports m’attiraient et en particulier la pelote, mon père y avait excellé, mais le rugby à Mauléon était vraiment le sport-roi et tout nous y ramenait.
Je considère que ce sport m’a aidé à devenir moi-même et je lui dois beaucoup.».
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Mais comment devient-on contrôleur des impôts et inspecteur des Domaines depuis le fin fond du Pays basque ? Comment quitte-t-on les montagnes souletines pour Paris et le Nord de la France ?...
Là, ce sont les instituteurs et la famille qui avaient le premier rôle, il fallait réussir, il fallait servir l’Etat et le service public pour devenir un homme bien..
« Quand je regarde les photos de classe, sur 50 il n'y en a que deux ou trois qui sont restés à Mauléon.
Les autres sont pour la plupart devenus fonctionnaires.
C'étaient des fils d'ouvriers et d’agriculteurs, français et espagnols.
Très peu ont fait des études supérieures.
Nombreux pourtant auraient mérité et pu en faire.
».
« Nous vivions au cœur de cet engagement de nos Hussards de la République, attachés à la réussite sociale de ces enfants du peuple qui leur étaient confiés.
Il faudra éternellement les remercier d’y avoir si amplement réussi et d’avoir fait de la fonction publique française un lieu d’excellence.
» Et puis, toujours dans cette idée de l’épanouissement de l’homme bien il fallait aller découvrir le monde, la France, s’ouvrir aux autres pour mieux revenir et servir le Pays basque « Je dois avouer que j’ai répliqué l’exigence avec mes enfants, je crois qu’ils ne le regrettent pas »..
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Contrôleur des impôts donc… « Mon goût des chiffres, ma rigueur arithmétique m’ont conduit à choisir la Direction générale des Impôts ».
Direction Clermont-Ferrand et son Ecole des Impôts et en avant pour un futur métier ! En parallèle de cette école, il est lauréat du pré-concours d’entrée à l’ENA il a ainsi pu bénéficier de deux années de préparation, l’une à Sciences-Pô Paris et la deuxième à Sciences-Pô Bordeaux qui venait de se créer.
« C’était très exaltant, et même si je ne fus pas reçu au concours de l’Ecole nationale d’administration ce fut pour moi une magnifique période de ma vie, faite de rencontres, de savoir et de culture ».
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Les Impôts et le syndicat.
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« Ma carrière au ministère des Finances a commencé dans le 7ème arrondissement de Paris et s’est terminée 40 ans et demi plus tard, aux service des Domaines, à Dax, en 2008.
Une vie professionnelle exigeante, pleine de passion à essayer de rendre l’impôt plus juste et efficace, et aussi d’engagements à faire évoluer ce métier puisqu’il devient Secrétaire national CGT chargé de la catégorie A, de 1980 à 1984..
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« Ces années furent pour moi une expérience exceptionnelle, de confrontations d’idées et de débats.
Au cours de ces mêmes années, j’entrai au Parti socialiste avec lequel j’étais en affinité depuis longtemps.
».
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Le syndicalisme reste pour moi, même si je ne suis plus qu’un simple adhérent, l’essence de mon engagement citoyen ».
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Le combat politique.
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La guerre d'Espagne, une blessure.
Sa culture politique, Jean Espilondo en est pénétré dans le bar-tabac de sa mère d’abord, par son père ensuite, militant gaulliste membre du Rassemblement du peuple français fondé par le Général de gaulle et dans les livres enfin : « J’étais passionné d’Histoire tout jeune, vraiment tout jeune.
Je dévorais les livres et il y en avait énormément à la maison où nous conservions des reliques de toutes sortes et sur plusieurs générations ! Et les livres d’Histoire, étaient sacrés parmi les sacrés ! » .
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Il se prend, très tôt, de passion pour la guerre d’Espagne.
Pourquoi ? « Certainement parce que ce pays était tout proche et certainement aussi parce que j’en entendais parler autour de moi.
».
« Il y avait un ouvrier qui avait été prof de maths à Madrid ; il avait commandé une batterie républicaine pendant la guerre civile ; il était le seul à pouvoir faire les calculs trigonométriques de mise au point des tirs.
A Mauléon, il me donnait des cours de maths.
Il en parlait parfois, peu »..
La guerre d'Espagne est le sujet de Jean Espilondo.
« C'était une question de sensibilité politique, de culture politique », acquise tout jeune.
Il a beaucoup lu là-dessus, tout peut-être.
« Mais pour moi, cela reste une blessure.
Je lis toujours avec un peu de mal à l'âme parce que ce sont des récits de défaites… En ce moment je m'attache à l'après-guerre d'Espagne, à l'histoire des familles, à la mémoire.
Par exemple celle de ces 150 fusillés dont on a retrouvé les corps dans une fosse commune, à Elizondo, près de Saint-Sébastien.
Je pense essentiel de retrouver la mémoire des combattants républicains, que pour leur dignité et le deuil des familles on puisse leur offrir enfin des sépultures dignes de ce nom.
» En cela il se dit admiratif du juge Balthazar Garzon et de son combat contre l’obscurantisme..
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Anglet, la rencontre.
Après ce long périple, l’amour du Pays basque reste plus fort.
Il profite de l’opportunité d’un poste à Biarritz pour revenir et retrouver les siens.
« Je m’installe à Anglet, ville pour laquelle j’ai un coup de foudre, tant j’aime son équilibre entre ville et la nature, sa pignada, son océan, sa vue sur les Pyrénées, la chaleur et l’ouverture de ses habitants surtout ».
Il ajoute habité « Toute mon envie d’engagement au service de l’action publique, c’est ici, me suis-je dit, que j’ai envie de la concrétiser.
» Aussi il entre au PS angloy en 1984 et y rencontre Jean-Pierre Voisin, professeur de génie civil au lycée Cantau.
« Tout de suite s'est créée une relation d'estime militante et d'amitié » se rappelle Jean.
« En 1989 il m'a proposé d'intégrer sa liste aux municipales.
Je l'ai fait autant par conviction que par amitié.
» Fortement implanté, Victor Mendiboure est réélu maire d’Anglet, mais Jean Espilondo est élu pour la 1e fois conseiller municipal.
« J’étais son opposant, mais je dois dire qu’il a été mon premier professeur en matière de gestion de la vie municipale » Un nouveau palier est franchi lors des élections municipales de 1995 avec Robert Lagareste comme tête de liste.
« Notre stratégie a payé et nous sommes passés de 25% de voix que l'on faisait d'habitude à 38%.
Un bon score qui était le résultat d'une très bonne campagne de proximité, au contact des angloys».
La gauche venait de faire un véritable saut qualitatif.
« A ce moment, plus que jamais, se sont affirmés ma conviction et mon engagement.
Je savais que nous allions gagner »..
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La première cantonale.
En 1997, c'est la dissolution de l'Assemblée Nationale, sous la présidence de Jacques Chirac.
La Bayonnaise Nicole Péry se présente sur la circonscription d’Anglet, de Bayonne et du Bas-Adour.
Elle a choisi l'Angloy Jean Espilondo comme suppléant.
Il s'est engagé totalement dans la campagne.
« C'est incroyable comme en un rien de temps, à cause de ta photo sur les affiches, tu sors de l'anonymat », dit-il.
Et la Gauche l'emporte pour la 1e fois sur cette circonscription..
Sur la lancée, Jean Espilondo, se présente aux cantonales de 1998 à Anglet-nord.
Il est élu.
Et là encore, c'est une première..
Il a tout juste le temps de prendre une semaine de repos pour mettre au point son programme de travail au Conseil général, que Sylviane Alaux, alors collaboratrice de Nicole Péry, et aujourd’hui députée de Biarritz et de Saint-Jean-de-Luz, l’appelle pour lui demander de passer d’urgence à la permanence : Nicole Péry vient d'être nommée secrétaire d'Etat à la formation professionnelle dans le gouvernement Jospin, (30 mars 1998) ; Jean Espilondo devient alors député à l'Assemblée nationale..
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Des lois et des rapports.
« Un engagement magnifique », reconnaît-il.
Et il bosse.
Au sein de la Commission des lois, au sein du groupe de travail sur les langues régionales, comme rapporteur d’une loi sur les sapeurs-pompiers volontaires, comme vice-président d’une commission d’enquête sur l’efficacité des aides publiques versées aux grandes multinationales, comme auteur d’un rapport sur le schéma national de transport de marchandises… .
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Mais il s’investit surtout sur la réforme du « mille-feuille territorial » dont il pense qu’il est un frein essentiel du développement de la France.
Il s’implique sur la loi Voynet et la création des « Pays » qui regroupe communes et intercommunalités ; sur la loi Chevènement et la création des communautés d'agglomération ou la loi Besson et le logement social.
Il propose des amendements, quitte parfois à « secouer » les positions gouvernementales.
Il défend par exemple la généralisation dans les « pays » du conseil des élus qui avait été mis en place à titre expérimental au Pays basque, à côté du conseil de développement.
Son amendement est repoussé, le Gouvernement craignant de voir les pays évoluer comme une nouvelle collectivité territoriale.
De même, il propose un mode de désignation des conseillers communautaires qui assure la représentation des oppositions dans les futures communautés d'agglomération.
Il parvient même à faire adopter son amendement par la Commission des lois de l’Assemblée nationale… mais au final le Gouvernement Jospin s’y oppose, et l’amendement est repoussé.
Il faudra attendre 2013 pour que la loi consacre ce principe..
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« Un mandat à l’Assemblée, c’est aussi de belles rencontres.
Ma 1e voisine de bureau était à l’époque Christiane Taubira.
Les murs tremblaient parfois de ses colères, mais quelle personnalité ! ».
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La tentation de Venise aussi.
« En 2002, le ciel me tombe sur la tête.
Lionel Jospin avait tant réformé la France dans la justice, et tant relancé la politique industrielle.
Et tout cela avec une exigence du dialogue et une intégrité sans faille.
Tout le monde disait que la campagne se passait mal.
Mais on ne le lui disait pas ».
Et le PS arrive derrière le Front national.
« C’est vingt ans d’engagement politique et syndical remis en cause en une seconde.
» Jean Espilondo est battu aux législatives qui suivent par Jean Grenet, candidat de l’UMP et maire de Bayonne.
Il en sera de même en 2007, lors des législatives qui suivent l’élection de Nicolas Sarkozy à l’Elysée..
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« Cela a été une vraie déception en 2002.
J'ai eu moi aussi la « Tentation de Venise » dans cette période difficile.
Et puis là je rencontre ma nouvelle épouse, Cécile Chabagno qui me redonne l’élan, l’énergie ».
Il se représente alors aux cantonales de 2004 où il est réélu triomphalement (58% des voix) face au maire d’Anglet, Robert Villenave.
« Et ça repart ! On avait perdu les municipales avec 204 voix d’écart en 2001.
On les gagne de 940 voix d’avance en 2008 ! ».
Et pour l’heure, être maire sera du 100 %.
Pas question de cumuler les mandats, aussi il ne se présentera ni aux cantonales de 2011 alors qu’il était sortant ni aux législatives de 2012..
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Le métier de maire.
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6 h- 6 h 30, la journée commence par une assez longue séance d'étirements.
Puis c'est la radio avec France Inter et France Bleu Pays basque et la presse, Le Monde, Libé, La Croix et Sud ouest évidement le tout accompagné d'un petit déjeuner au café noir.
Il lit les articles de fond et il archive.
« Ou plutôt j'accumule.
Mais j'en relis certains quand j'ai le temps ou besoin de retrouver des références.
Et de temps en temps, je fais le tri »….
Ensuite, il répond à ses mails et lit le courrier remis la veille au soir qu'il a emporté chez lui.
Il prépare sa journée de travail et le détail de ses interventions et autres réunions.
Une seule « arme » : le dictaphone qu'il a dans une poche depuis le réveil.
« J’enregistre tout ce qui me vient, dit-il.
On a l'esprit clair le matin »..
9 h 30, après un petit tour impromptu des travaux en cours dans la ville, arrivée en mairie.
Il y restera jusqu'à 20h, pour une journée faite de réunions, d'examens des dossiers, de rendez-vous avec ses administrés, de ses adjoints, des services ou à la communauté d'agglomération..
« Je délègue beaucoup ; je les laisse travailler en paix » explique-t-il en parlant de ses adjoints.
« Il s'agit d'une équipe avec de fortes personnalités ; ce sont des gens qui bossent et qui sont compétents.
L’art du politique est sans doute de savoir mettre en œuvre ses idées, mais aussi de bien s’entourer.
Ils savent qu'ils peuvent compter sur moi.
Mais au final, il faut prendre les décisions et ça, forcément, ça me revient »..
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Le mandat.
« On a fait un travail énorme depuis 2008 », dit Jean Espilondo avec fierté.
« Il fallait redonner de la force et une dynamique à Anglet.
Lui rendre une vraie visibilité par rapport à ses voisines ».
Passé l’apprentissage des premiers mois où il s’agissait surtout de trouver nos marques, l’équipe s’est mobilisée afin de respecter la promesse de campagne « Anglet pour tous ».
« C’est ce que l'on a fait au travers du Plan local d'urbanisme en redonnant à notre ville son caractère si orignal de ville-jardin, en promouvant le logement social, en en faisant une ville plus solidaire et accueillante pour tous ».
Sans conteste, entre Bayonne et sa Scène nationale et Biarritz et la compagnie de danse de Thierry Malandain, le FIPA ou le festival du film franco-ibérique, Anglet faisait pâle figure en dépit des activités multiples qui s'y déployaient..
Elle donne aujourd'hui le sentiment d'avoir fait sur le plan culturel un véritable « bond qualitatif», pour reprendre l'expression de son maire.
La Biennale d'art contemporain a été conservée et même consacrée en 2011 et 2013 avec l'invitation à la FIAC de Paris de quatre de ses œuvres exposées les années précédentes à Anglet..
Baroja est devenu un lieu de vie avec son chapiteau et ses festivals : Les jours heureux pour le jeune public et Jazz sur l’herbe.
En attendant la salle culturelle du Quintaou pour l'automne 2013..
La culture, mais aussi le sport, Anglet faisant dorénavant partie des villes les mieux équipées d'Aquitaine en ce domaine.
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Mais ce dont il est peut-être le plus fier c’est d’avoir construit une vision du développement économique de la ville.
« Le tourisme est essentiel, mais non suffisant pour générer des emplois d’avenir à nos enfants.
La continuation des Landes de Juzan, avec sa technocité autour de l’éco-construction, la pépinière d’entreprises Olatu Leku au sein de Baia Park dédiée à la glisse, ou encore Melville Lynch la nouvelle zone d’activités professionnelles au nord d’Aritxague, autant de pépites pour notre futur développement.
».
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« Nous essayons de privilégier tout ce qui tisse du lien social, tout ce qui va permettre à toutes les générations de se rencontrer » explique Jean Espilondo.
« Le sport et la culture sont essentiels quand on veut ancrer et projeter une ville comme Anglet dans le 21ème siècle, en particulier dans cette période troublée, où les français doutent de leurs valeurs »..
« Il faut le reconnaître, la ville s'était mise à vieillir.
Elle avait perdu 500 enfants d'âge scolaire depuis la fin du 20ème siècle.
Depuis 2012, nos écoles primaires ont compté 150 élèves supplémentaires.
On a inversé la courbe en l'espace de cinq ans.
».
« Anglet redevient, grâce au logement social, aux espaces verts, à notre politique culturelle et sportive, à son lien social, une ville qui s'inscrit dans la dynamique de l'agglomération, qui pousse vers le haut.
Au cœur de l'agglomération, elle ne peut ainsi que la faire avancer, et nous ne sommes qu’au début »..
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Son jardin secret.
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Son livre de chevet.
« C’est toujours un exercice difficile, un brin artificiel.
Mais je dirais, Pablo Neruda, pour sa force poétique, qui me permet de prendre du recul ».
Et en politique ? « Indéniablement là aussi l’œuvre de Mendes-France, pour sa modernité, qui me parle encore aujourd’hui.
Son acuité sur la France et le Monde, sa vision de la démocratie, sa constance, sa fidélité aux valeurs républicaines ».
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Sa musique.
Sans conteste, le tango ! D’Astor Piazzolla à Gotan Project, en passant par Carlos Gardel, Cameron et bien d'autres.
A égalité avec Mozart.
« Mais j’aime aussi chanter, en particulier des chants basques, j’ai longtemps été dans une chorale.
Et aujourd’hui j’ai un vrai coup de foudre pour Stromae, avec cet art de dire notre vie difficile dans la joie des mélodies.
».
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Son point de vue préféré.
De toute évidence, le belvédère Yves Brunaud.
« C’est pour moi l’Anglet magnifié.
Cela existait, il suffisait d’un peu de sensibilité pour exalter sa beauté » dit-il.
« J’aime le matin tôt y passer prendre un café, les changements de temps du Pays basque y prennent parfois une dimension surréaliste.
».
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Son lieu de ressourcement : Ahusquy.
C'était, à la fin du 19ème l'hôtel Bellevue de son grand-oncle Baratçabal.
Et il fallait quatre heures pour y monter à pied d'Aussurucq ou de Mendive, au plus profond de la Soule, près de la forêt des Arbailles.
L'établissement eut ses heures de gloire, Jean Cocteau y prenait ses vacances.
Mais pas de descendance pour la reprise, après que « Xixili » eût arrêté.
Les petits-neveux, aux Amériques, s'en souciaient peu.
Le parrain de Jean Espilondo par contre fit tout pour que la maison reste dans les mains de la famille.
En l'occurrence, celles du neveu Jean.
« Ici, j’ai mes racines.
Ici, je me ressource.
J’aime y aller avec ma famille, mes enfants et petits-enfants, mes amis.
Mais aussi, seul.
J’aime le soir quand, dans le calme absolu, ou accompagné des sonnailles qui résonnent dans les pâturages, je contemple le panorama, du pic d’Orhy jusqu’au pic de Pène Sarrière qui domine Gourette..
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Son plat préféré : La blanquette de veau.
« On peut m’en servir tous les jours…et puis aussi un Pessac Léognan pour l’accompagner…je le rajoute si jamais certains cherchaient des idées de cadeau !» dit-il rieur..
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Enfin l’incontournable citation favorite : « J’en ai deux et je ne veux pas céder sur l’une ou l’autre parce qu’elles fondent ma vie réellement ».
La première de Camus « La vraie générosité envers l’avenir consiste à tout donner au présent », la seconde de Jean Monnet « Je ne suis pas optimiste, je suis déterminé »..
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