Il a en effet été fomenté le jour où les parlementaires élus en novembre se réunissaient dans la capitale birmane, Naypyidaw, pour prêter serment et élire un président. Plus de 80 % de ces députés appartiennent à la Ligue nationale pour la démocratie (LND), le parti d’Aung San Suu Kyi, qui comme en 2015 avait largement triomphé dans les urnes.
La population unie contre les putschistes
Cette usurpation de la volonté d’un peuple qui avait fait l’expérience d’une ouverture démocratique depuis moins de dix ans a provoqué l’indignation générale au Myanmar. Aujourd’hui, cinq mois après le coup, cette indignation ne s’est pas apaisée, et bien que des manifestations de masse ne se produisent plus comme aux premiers mois de la contestation et qu’elles soient remplacées par des manifestations
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