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Traite et esclavage : reconnaître le passé pour lutter contre le racisme
Samedi 3 Juillet 2021
Grâce à la loi Taubira, la France a été le premier pays à reconnaître l’esclavage comme crime contre l’humanité. Mais, vingt ans après, son application reste difficile. L’ex-puissance coloniale demeure « dans un carcan, un déni, qui l’empêche de penser sa diversité », explique l’historienne Myriam Cottias, coordinatrice du projet « Repairs », consacré à la question des réparations.
Entretien
À l’abolition, en 1848, les propriétaires d’esclaves ont été largement compensés. La France, alors endettée, a déboursé l’équivalent de 26 milliards d’euros. Depuis le 9 mai, on peut en connaître tous les détails sur un site dédié grâce au programme « Repairs » (Réparations, compensations et indemnités au titre de l’esclavage-Europe-Amériques-Afrique, XIXe-XXIe siècles) coordonné par l’historienne Myriam Cottias. Cette nouvelle étape dans les travaux menés sur cette longue et terrible page de l’histoire amène à poser de nombreuses questions, dont celle des réparations pour les victimes.

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